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Mois Après Mois...

23 novembre 2008 7 23 /11 /novembre /2008 08:23

       Article égoïste : je pense à moi !!!! Vendredi, j'ai décidé de changer de tête et suis allée chez le coiffeur. Voici le résultat et croyez moi, je n'ai aucun regret !


Avant :




Après :



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14 mai 2008 3 14 /05 /mai /2008 17:31
Bonjour à tous !

        Après la jolie surprise de la semaine dernière, en voilà une autre !
        J'ai en effet décidé de bloguer "en public" et j'ai donc ouvert un nouveau blog accessible à tous. Vous pouvez donc dès à présent fouiller dans mon  Blog et Broc.
        Vous y trouverez à peu près les mêmes choses qu'ici, les souvenirs de famille en moins. Je souhaite que ce nouveau blog reste "anonyme" et je vous remercie donc de ne pas mentionner de données personnelles (genre nos prénoms etc...) dans vos commentaires si vous en laissez.

       En parlant d'un nouveau blog, allez donc visiter le blog public de Claire : L'Atelier du caribou !

Bonne lecture à tous !!!
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21 février 2008 4 21 /02 /février /2008 01:39
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J'ai embrassé l'aube d'été.
    Rien ne bougeait encore au front des palais. L'eau était morte. Les camps d'ombres ne quittaient pas la route du bois. J'ai marché, réveillant les haleines vives et tièdes, et les pierreries regardèrent, et les ailes se levèrent sans bruit.
    La première entreprise fut, dans le sentier déjà empli de frais
et blêmes éclats, une fleur qui me dit son nom.
   Je ris au wasserfall blond qui s'échevela à travers les sapins:
à la cime argentée je reconnus la déesse.
    Alors je levai un à un les voiles. Dans l'allée, en agitant les bras. Par la plaine, où je l'ai dénoncée au coq.
A la grand'ville elle fuyait parmi les clochers et les dômes, et courant comme un mendiant sur les quais de marbre, je la chassais.
    En haut de la route, près d'un bois de lauriers, je l'ai entourée
avec ses voiles amassés, et j'ai senti un peu son immense corps. L'aube et l'enfant tombèrent au bas du bois.
    Au réveil il était midi.

Arthur Rimbaud, Les Illuminations

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20 février 2008 3 20 /02 /février /2008 02:10
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C'est un trou de verdure où chante une rivière
Accrochant follement aux herbes des haillons
D'argent ; où le soleil, de la montagne fière,
Luit : c'est un petit val qui mousse de rayons.

Un soldat jeune, bouche ouverte, tête nue,
Et la nuque baignant dans le frais cresson bleu,
Dort ; il est étendu dans l'herbe sous la nue,
Pâle dans son lit vert où la lumière pleut.

Les pieds dans les glaïeuls, il dort souriant comme
Sourirait un enfant malade, il<fait un somme :
Nature, berce-le chaudement : il a froid.

Les parfums ne font pas frissonner sa narine ;
Il dort dans le soleil, la main sur sa poitrine
Tranquille. Il a deux trous rouges au côté droit.





        En voyant ce tableau, ce magnifique poème d'Arthur Rimbaud m'est tout de suite revenu en mémoire même si le sujet du tableau est très différent. Ce jeune homme semble tout autant fragile et vulnérable que le jeune soldat endormi... J'ai eu le coup de foudre pour ce poème en classe de 1ère quand je l'ai étudié pour le bac de fançais (ce fût d'ailleurs mon sujet à l'oral) et à chaque fois que je le lis, je ressent toujours une intense émotion...

Sur Internet :
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6 février 2008 3 06 /02 /février /2008 08:39
        Au menu du jour : Ratatouille !
        Il est temps pour moi de vous parler du dernier chef-d'oeuvre de Pixar : Ratatouille. Nous avons vu ce dessin animé avec Louise et Mathilde lors de sa sortie en salle : il fallait bien occuper les après-midi pluvieux du mois d'août.... Nous nous sommes régalées sans mauvais jeu de mot !  Et quand le DVD est sorti, il est venu rejoindre ses copains DVD dans notre salon et les filles le regardent en boucle !

undefined        L'histoire est très simple et amusante. Rémy est un rat d'égoût au talent bien particulier : c'est un cuisinier talentueux , au goût très fin. Il n'a qu'un rêve : devenir  un grand chef à l'image de son idole Gusteau, cuisinier star. Un peu aidé par le hasard, Rémy arrive à Paris et débarque dans les cuisines de son idole. Il se lie alors d'amitié avec Linguini, un jeune commis de cuisine qu'il va aider à devenir un grand de la cuisine française. Ce film se veut être un hommage à la gastronomie française et c'est très réussi. La vie des cuisines d'un grand restaurant est fort bien retranscrite et les dessins sont fabuleux ! Le brillant des fruits et légumes, le velouté des sauces, l'arôme des soupes, le parfum des fromages, le fumet des poissons, les couleurs chatoyantes des épices : tout y est ! Et puis comme on est quand même dans le monde merveilleux Pixar-Disney, tout est bien qui finit bien et la morale est sauve. Personnellement, j'aurais adoré participé à la préparation de ce film... En effet, pendant plusieurs mois, l'équipe de Pixar a écumé les grands restaurants français, testé carte et cave et visité les cuisines. Plusieurs chefs connus comme Guy Savoy et Cyril Lignac ont même prêté leur voix à certains personnages. 

Tout ça pour dire : un chef d'oeuvre à déguster sans tarder !

N'hésitez pas à découvrir le site officiel ainsi que la fantastique collection des   courts métrages Pixar  , qui  tourne également en boucle à la maison.
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29 janvier 2008 2 29 /01 /janvier /2008 19:02

        Pour ce nouvel épisode de ma chronique littéraire :  "Le Diable s'habille en Prada" de Lauren Weisberger.
        Je viens de terminer ce roman et je dois avouer que j'ai adoré ! Ce n'est pas de la grande littérature mais c'est drôle, délicieusement caustique et finalement assez moral.
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        Dans le rôle principal : Andrea Sachs ou plutôt devrais dire "An-dre-ââ" comme le répète à l'envie Miranda Priestly, sa patronne, rédactrice en chef de Runway, un célèbre magazine de mode new-yorkais. Songez plutôt, des millions de filles rêveraient d'avoir sa place !
        En effet, Andrea est l'assistante personnelle de Miranda. Elle doit répondre au pied levé aux moindres désirs de sa caractérielle et non moins exigeante patronne.
        Un café de chez Starbucks ? : "An-dre-ââ" !
       Une jupe en soie ? : "An-dre-ââ" !
        Un verre de San Pellegrino avec de la glace, une rondelle de citron vert à la gauche de son bureau ? : "An-dre-ââ" !
        Un avion privé en plein ouragan à 3h du matin ? : "An-dre-ââ" !
        Une table dans le meilleur restau de la ville pour ce soir ? : "An-dre-ââ" !
        Deux exemplaires du dernier Harry Potter en avant-première ? : "An-dre-ââ" !
        Et ainsi de suite jusqu'aux dernières pages. Pendant tout le roman Andréa court, craque, pleure mais elle est prête à tout endurer car si elle réussit, Miranda lui procurera une place dans n'importe quel journal et Andréa rêve d'être journaliste. Et puis Andréa fait quelques troublantes rencontres et surtout s'habille chez les plus grands créateurs aux frais de la princesse. Dans tout le roman, à toutes les pages, on ne parle que de Chanel, Dior, Versace, Gucci, Vuitton et bien sur Prada. 
        Très futile me direz vous mais  drôle, amusant, caustique , cruel et terriblement chic ! En tous cas, moi j'ai adoré cette histoire de princesse et de sorcière à la sauce glamour bling-bling new-yorkaise ! Je suis certaine qu'avec ce bouquin mon score de greluche attitude va faire un bond !!!

        J'aurais pu aussi vous parler du film éponyme avec  Merryl Streep dans le rôle de  l'ignoble Miranda. Le film est sympa, pas mal adapté. Merryl Streep incarne remarquablement Miranda mais  je la trouve beaucoup trop gentille par rapport au personnage du roman.
        Dans le même style, il y a aussi la nouvelle série diffusée sur TF1 (j'avoue, je regarde  des séries de TF1...)  "Ugly Betty", inspirée d'une série colombienne et qui raconte les journées d'une fille grosse et très ordinaire qui travaille pour un magazine de mode. Regardez : c'est très drôle !

Sur Internet :

 

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28 janvier 2008 1 28 /01 /janvier /2008 15:55
        Pour cette 5ème chronique cinéma, je veux vous parler d'un film superbe : "Le Renard et l'Enfant".
        Ce film est tout simplement une pure merveille... Nous l'avons vu au cinéma avec les filles au début du mois et nous avons vécu un moment magnifique plein d'émotion.


undefined        L'histoire en est très belle de simplicité. Une petite fille d'une dizaine d'année se rend à l'école. Sur le chemin de l'école, elle apperçoit un renard dans la forêt. Elle s'approche pour l'observer mais le renard s'enfuit.  La petite se passionne alors pour les renards, se documente, passe son temps à le chercher. L'hiver passé, elle retrouve son renard ou plutôt sa renarde et petit à petit nait entre elles deux une amitié très forte.
        Ce film est superbe. Les images sont maginifiques. Les paysages de montagne, les pâturages fleuris, les torrents, la neige sont grandioses ety remarquablement mis en musique. Je suis retrouvée 25 ans en arrière à Flaine quand j'avais le même âge que la petite héroïne. Diane et Claire comprendront sûrement de quoi je veux parler...
        Par ailleurs les scènes animalières sont splendides notament celle où un lynx poursuit notre renarde dans la neige.

       Je n'ai plus qu'à vous conseiller d'aller le voir : vous vivrez un merveilleux moment de bonheur et de douceur dans ce monde de brutes...

Sur Internet :
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20 janvier 2008 7 20 /01 /janvier /2008 09:05
        Pour notre 300ème article, je voulais partager avec vous un poème que j'adore depuis tout petite. Je l'ai découvert dans un livre de poésies offert par Nadine, ma marraine, pour Noël en 1983... Peut-être s'en souvient-elle ?
        J'ai tout de suite eu le "coup-de-foudre" pour ce merveilleux texte de Paul Eluard publié en 1942 ce qui lui donne encore plus de valeur à mon sens. Je me souviens que cette même année,  mon institutrice nous avait laissé libre choix pour un poème et j'avais opté pour ce petit bijou à sa plus grande surprise.


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Sur mes cahiers d’écolier
Sur mon pupitre et les arbres
Sur le sable sur la neige
J’écris ton nom
 
Sur toutes les pages lues
Sur toutes les pages blanches
Pierre sang papier ou cendre
J’écris ton nom
 
Sur les images dorées
Sur les armes des guerriers
Sur la couronne des rois
J’écris ton nom
 
Sur la jungle et le désert
Sur les nids sur les genêts
Sur l’écho de mon enfance
J’écris ton nom
 
Sur les merveilles des nuits
Sur le pain blanc des journées
Sur les saisons fiancées
J’écris ton nom
 
Sur tous mes chiffons d’azur
Sur l’étang soleil moisi
Sur le lac lune vivante
J’écris ton nom
 
Sur les champs sur l’horizon
Sur les ailes des oiseaux
Et sur le moulin des ombres
J’écris ton nom
 
Sur chaque bouffée d’aurore
Sur la mer sur les bateaux
Sur la montagne démente
J’écris ton nom
 
Sur la mousse des nuages
Sur les sueurs de l’orage
Sur la pluie épaisse et fade
J’écris ton nom
 
Sur les formes scintillantes
Sur les cloches des couleurs
Sur la vérité physique
J’écris ton nom
 
Sur les sentiers éveillés
Sur les routes déployées
Sur les places qui débordent
J’écris ton nom
 
Sur la lampe qui s’allume
Sur la lampe qui s’éteint
Sur mes maisons réunies
J’écris ton nom
 
Sur le fruit coupé en deux
Du miroir et de ma chambre
Sur mon lit coquille vide
J’écris ton nom
 
Sur mon chien gourmand et tendre
Sur ses oreilles dressées
Sur sa patte maladroite
J’écris ton nom
 
Sur le tremplin de ma porte
Sur les objets familiers
Sur le flot du feu béni
J’écris ton nom
 
Sur toute chair accordée
Sur le front de mes amis
Sur chaque main qui se tend
J’écris ton nom
 
Sur la vitre des surprises
Sur les lèvres attentives
Bien au dessus du silence
J’écris ton nom
 
Sur mes refuges détruits
Sur mes phares écroulés
Sur les murs de mon ennui
J’écris ton nom
 
Sur l’absence sans désir
Sur la solitude nue
Sur les marches de la mort
J’écris ton nom
 
Sur la santé revenue
Sur le risque disparu
Sur l’espoir sans souvenir
J’écris ton nom
 
Et par le pouvoir d’un mot
Je recommence ma vie
Je suis né pour te connaître
Pour te nommer
 
Liberté.


L'illustration choisie est celle de mon petit livre de poésies
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9 décembre 2007 7 09 /12 /décembre /2007 08:54
        Il fallait bien qu'un jour je vous parle de mon FILM CULTE : La Couleur Pourpre !!!

       affiche-La-Couleur-pourpre-The-Color-Purple-1985-1.jpg  
        J'adore ce film. Je l'ai vu pour la première fois quand j'étais au lycée et depuis je le regarde régulièrement.

        Ce film est une pure merveille. Réalisé par Steven Spielberg en 1985, bien loin de ses super-productions habituelles, ce film est sorti sur les écrans l'année suivante.
        Il raconte l'histoire de deux soeurs noires, Célie et Nettie, dans le Sud profond des Etats-Unis au cours de la première moitié du  XXème siècle.

        L'histoire commence par l'enterrement de la mère de Célie et Nettie. Célie s'adresse  au  Bon Dieu ( "Cher Bon Dieu " est d'ailleurs le titre original du livre dont est tiré le scénario ) et  lui dit qu'elle a 14 ans et deux enfants de son père. Ses deux enfants lui ont été volés à leur naissance et Célie va les chercher tout au long du film. Célie, moins jolie que sa soeur, va subir violences et humiliations quotidiennes de la part de son père puis de Monsieur, l'homme à qui elle a été mariée de force. Elle sera ensuite brutalement séparée de sa soeur Nettie qui a repoussé les avances de Monsieur. On assiste à une scène bouleversante entre les deux soeurs et Nettie jure qu'elle écrira à Célie et que "Y'a qu'la mort qui m'en empêchera !". Célie reste sans nouvelles de sa soeur pendant des années au cours desquelles elle élèvera les enfants de son mari, fera la connaissance du seul grand amour de son époux,  la belle chanteuse de cabaret Shug Avery, et de la bouillonnante Sofia. Un jour, elle découvre les lettres que Nettie, conformément à sa promesse, lui a envoyées d'année en année. Aidée par Shug, Célie va prendre son destin en mains et s'affranchir de la violence de son époux. 

        Ce film est une peinture sans concessions de la violence faite aux femmes, du racisme au quotidien et de la vie des femmes noires  dans le sud des Etats-Unis. Il est servi par des images splendides, une bande originale extraordinaire créée par Quincy Jones mélant gospels et chansons des Années Folles (celle que vous entendez, Miss Célie's Blues, est offerte par Shug Avery à Célie) et une émotion présente à chaque scène. Moi je pleure à chaque fois que je le regarde !

        Les acteurs sont aussi formidables et nous offrent des performances remarquables, pour certains bien éloignées de leur registre habituel. Ainsi Whoopi Goldberg, dont c'est le premier rôle au cinéma, est tout simplement époustouflante dans le rôle de Célie tout comme Danny Glover dans celui de Monsieur.  Oprah  Winfrey, la célèbre chroniqueuse TV américaine, campe également avec beaucoup de talent  "La Sofia".

        Alors n'hésitez pas, plongez vous dans cette merveilleuse Couleur Pourpre !

        J'aurais aussi pu vous parler du livre écrit par Alice Walker et dont est tiré le film. Il est tout aussi bien que le film et je vous engage également à le découvrir. C'est aussi l'un de mes livres cultes !


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15 novembre 2007 4 15 /11 /novembre /2007 21:16

        Dans ma bibliothèque ce soir, un superbe roman lu cet été : " Loin de Chandigarh " de Tarun J Tejpal.
        C'est le premier roman d'un journaliste d'investigation indien très connu dans son pays. Ce pavé de 692 pages nous conduit en Inde de Chandigarh aux contreforts de l'Himalaya en passant par Delhi a travers l'histoire d'un journaliste (tiens, tiens...) et de sa femme, Fizz.
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        Le narrateur vit une passion de tous les instants avec son épouse, la très belle  Fizz, depuis une quinzaine d'années. Le roman nous entraine dans les tourbillons de leur amour si fort et si sensuel. Les deux amants ne se lassent pas l'un de l'autre et à vrai dire, il y a à peu près une scène d'amour par page. Ces scènes sont d'ailleurs très bien écrites, très sensuelles et érotiques sans jamais tomber dans le vulgaire : on est quand même au pays du Kama-Sutra ! L'auteur nous fait aussi découvrir l'Inde et quelques pages de l'histoire moderne de ce pays à travers la vie de ses deux héros : la fin des années de domination anglaise, les conflits entre hindous et muslmans, l'accession à la modernité, la corruption et la première bombe atomique indienne. Un jour, nos deux amoureux achètent et restaurent une magnifique propriété perchée dans les montagnes de l'Himalaya. Au cours de ces travaux, le narrateur découvre une malle contenant 64 carnets reliés de cuir fauves. Il s'agit du journal intime de Catherine, une américaine, ancienne propriétaire de la maison. Catherine menait une vie très libre et scandaleuse qu'elle confie aux pages de ces petits carnets. La lecture de ce journal va bouleverser la vie des deux amoureux et détruire leur couple à petit feu...

        Ce roman est magnifique, magique, foisonnant, sensuel, érotique, sexuel, drôle, émouvant, envoûtant, fascinant. C'est aussi une invitation au voyage à la rencontre des milles et une facettes de l'Inde. 
Pour vous donner une petite idée de l'esprit  de ce roman, la première phrase est
"  L'amour n'est pas le ciment le plus fort entre deux êtres. C'est le sexe". Le titre original en est d'ailleurs The alchemy of desire.

        Je l'ai dévoré en quelques jours et vous le recommande vivement.  

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